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L'actualite chez vous

17 mai 2023

Le sport est fameux et à plein essor. C'est dans

 Le sport est fameux et à plein essor.

 

C'est dans cette optique que le Réal Madrid, équipe de la capitale espagnole remporte la coupe du roi.

 

Le jeune joyau brésilien du Real a dû s'illustrer à deux reprises pour donner l'avantage aux siens.

Il a ouvert la marque dès la 2e minute, sur le premier ballon d'attaque des Merengues, à la conclusion d'une percée de Vinicius sur l'aile gauche. Puis après l'égalisation signée Lucas Torro d'une demi-volée du droit au retour des vestiaires (58e), Rodrygo a hérité d'un ballon chanceux, après une frappe de Toni Kroos déviée par la défense navarraise, qu'il lui a suffi de piquer par-dessus Sergio Herrera pour assurer le sacre au Real.

L'Espagne, avant l'Europe ? Trois jours avant leur demi-finale aller de Ligue des champions contre Manchester City, les hommes de Carlo Ancelotti, champions d'Europe et d'Espagne en titre, ont remporté leur premier trophée de la saison au meilleur des moments, juste avant le sprint final vers le sacre continental.

Survoltés dès l'entame, les joueurs de la «Maison blanche» ont trouvé la faille dès 106 secondes de jeu, marquant l'un des buts les plus rapides de l'histoire des finales de la Coupe du Roi.

Très utilisé cette saison (50 matches, 35 comme titulaire), Rodrygo, 22 ans, a encore une fois montré son importance dans le groupe merengue, parfait soutien des superstars Karim Benzema et de son compatriote Vinicius (à l'origine des deux buts depuis son aile gauche) dans le trident offensif du Real.

Il cumule désormais 16 buts et 11 passes décisives cette saison, toutes compétitions confondues. Remplacé par Marco Asensio à la 89e, Rodrygo a été ovationné par la moitié du stade de la Cartuja, vêtue de blanc.

Osasuna, de son côté, a montré un meilleur visage au retour des vestiaires. Inexistants en première période, hormis quelques fulgurances du prodige Ez Abde (26e), les Navarrais ont bien mieux démarré la deuxième période, dominant le jeu et s'offrant quelques belles opportunités de buts avant l'égalisation.

Les «Gorritxo» (rougeots, en langue basque), qui disputaient là leur deuxième finale de Coupe du Roi après celle perdue en 2005 face au Betis Séville, devront attendre pour soulever le premier trophée majeur de leur histoire.

Le Real, de son côté, aurait pu s'imposer avec une marge plus conséquente. Benzema, le capitaine, a eu le ballon du 2-0 au bout du pied à la 25e minute après un superbe jeu à trois avec ses comparses brésiliens d'attaque, mais sa frappe a été déviée par un grand Sergio Herrera. Puis à la 32e, David Alaba a envoyé un coup franc des 25 mètres sur la barre transversale.

Un sacre qui arrive au meilleur des moments pour le Real Madrid, en plein doute après ses deux cinglantes défaites sur les terrains du promu Gérone (4-2) et de la Real Sociedad (2-0).

Ancelotti, entraîneur du dernier sacre des Merengues en 2014 en coupe nationale, l'avait promis en mars: cette saison, le Real allait gagner quelque chose. Promesse tenue.

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